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Coup de Coeur de la Fangirl, Mars 2016 #7 : FIVE le film, des feels, du fangirl et du rire.

18:37

       Comme vous l'avez probablement vu sur le twitter de CF ou sur nos twitters respectifs, Pierre Niney va sortir un nouveau film, FIVE, dans lequel il joue avec ses potes et qui a été réalisé par un de ses potes, Igor Gotesman. Maud et Salomé ont eu la chance de le voir en avant-première, d'abord à Rennes et ensuite à Montpellier, au cours du mois de Mars. Et si toutes les deux, on a déjà un énorme coup de cœur (que dis-je CRUSH) pour Pierre et François (Civil), le film nous a fait tomber en amour pur et sincère avec toute la bande.

...
       Le film en lui-même, c'est l'histoire d'un groupe de pote qui se met dans la galère pour aider un pote dans la galère. Clairement, c'est sur « jusqu'où serais-tu prêt à aller pour aider un de tes bros ? ». Et le film répond super bien à la question. C'est vraiment une ôde à l'amitié et surtout, surtout, c'est un film de potes réalistes.

       Je (Salomé) me suis retrouvée dans certaines situations similaires ou presque à ce qui se passe dans le film, je peux attribuer les rôles à certains de mes potes, c'est un film qui parle à notre génération et ça fait donc deux semaines que je saoule mes copains pour qu'on retourne le voir tous ensemble. Mais non seulement le film est drôle (que dis-je, hilarant) avec des scènes de pur comique à hurler de rire que j'ai failli en faire pipi dans ma culotte au cinéma (merci François, vraiment, merci), il est aussi touchant, j'en ai eu les larmes aux yeux à un moment. Peut-être que c'est moi qui suis trop sensible aussi, je ne sais pas. Après, j'ai quelques tout petits reproches à faire, sur la présence des personnages féminins par exemple (je trouve le rôle de Margot Bancilhon/Julia un peu trop restreint et ils auraient pu en faire quelque chose de ouf, là, elle apparaît juste pour le côté œstrogènes et c'est pas top) ou le rôle d'Idrissa Hanrot/Nestor, dont on nous explique vite fait le background pour un gag.

       Quant à moi (Maud), j'ai ris tout du long, du début à la fin. D'abord submergée par la beauté et le charisme de Pierre, j'ai vite compris qu'ils étaient tous aussi pipoux les uns que les autres. Mon coup de cœur spécial étant pour Idrissa/Nestor qui, pour le coup, ne m'a pas laissé de marbre au niveau de l'excitation hormonale. Plus sérieusement, le film est une réussite. Le talent des acteurs mêlé à une histoire que des personnes comme vous et moi pourrions vivre provoque une réaction chimique très intéressante, en témoigne les fous rires incontrôlables générés par la scène où François/Tim et Pierre/Sam se retrouvent sous exta' et celle où François/Tim se lâche devant la porte de son voisin du dessous. Le générique de début aussi est intéressant. Il s'affiche au rythme de la musique et ne laisse apparaître que le prénom des personnes ayant contribué à l’élaboration du film. Cette astuce, de mon point de vue, est sûrement voulue pour créer une atmosphère de proximité et d'amitié entre les individus, puisque après tout, tout le monde appelle ses potes par leur prénom. Une série de répliques est aussi à retenir et a ressortir pour une bonne barre de rire. Je peux vous en citer quelques unes comme "arrête Tim, je t'entends dans le rétro," comme s'il était possible d'entendre quelqu'un à travers un rétroviseur, "on est pas dans GTA, on a qu'une vie," car oui Samuel a peur pour sa vie, ou encore "les flics c'est comme les chevaux, ils sentent si tu as peur," quand ils se sentent coupables de transporter deux cachetons d'exta'. C'est donc un film de potes, par des potes pour des potes. Personnellement, pour l'avoir vu avec des amis, ce film est devenu une inspiration, un modèle de vie qu'on aimerait reproduire (sans le côté jardinage évidemment).

       Mais qui dit avant-première dit forcément (ou pas d'ailleurs) présence de l'équipe du film pour commenter le dit long-métrage et pour répondre aux questions plus ou moins pertinentes du public (Maud se souvenant d'une fille à Rennes lors de l'avant-première d'Un Homme Idéal de Yann Gozlan qui a demandé à Pierre s'il accepterait de boire un verre avec elle)... A Rennes, ils sont entrés avant la fin du générique par le haut de la salle. Armée de notre pancarte Cannoise, je (Maud) me suis sentie terriblement stressée car toute la journée j'ai prié pour que Pierre nous la signe, quitte à lui tweeter ma demande deux ou trois fois. Avec leur humour tout particulier ils ont enchaîner les réponses et les commentaires. Une personne se lève alors pour faire remarquer que la bande originale du film était de qualité et elle demande alors à l'équipe de pousser la chansonnette. J'ai eu la chance et le réflexe d'immortaliser ce moment. En voici la vidéo :


       Arrive alors le moment crucial, celui de se bouger le cul pour arriver à faire signer la pancarte. Pierre ne m'ayant quasiment pas quitté des yeux de la conférence, ayant surement compris que c'était moi l'emmerdeuse, je me suis dit qu'il serait simple de l'approcher et de lui faire signer le sésame pour enfin l'encadrer. Une foule s'amasse autour de lui, beaucoup beaucoup beaucoup de monde. Je me demande même si je vais pouvoir le voir. Mais finalement mon moment arrive. Il reconnaît la pancarte qu'il avait adoré à Cannes et la signe pour Salomé et moi, s'appliquant comme jamais pour signer quitte à écrire toutes les lettres de son nom. Aux anges, je me dirige donc vers François m'étant dit qu'il serait intelligent de lui arranger un plan drague avec Salomé qui le kiffe à mort de puis deux ans qu'on regarde Casting(s) à Cannes. Adorable comme il est il a marché dans la combine et j'ai même pu faire une photo avec lui. J'avais au préalable laissé la pancarte sur mon siège et d'après mes amis restés garder mes affaires, elle a beaucoup attiré l'attention. Plusieurs personnes l'ont prise en photo et un monsieur à même tenu à me prendre en photo avec. J'ai pu alors remarquer que sur chacun des autographes de Pierre que Salomé et moi avons, (3 du à nous deux) il nous a fait un petit coeur. Quel amour !
Pierre Niney signant la pancarte.
La pancarte signée.
La signature (admirez le petit coeur qu'il nous à fait).
Ma photo avec ce cher François.
       A Montpellier, après la projection du film, l'équipe à débarqué dans le ciné pour une séance de questions-réponses durant laquelle Igor s'est éclaté à répondre de la merde, François à faire des vannes de merde sur lesquelles Pierre renchérissait avec amour mais toujours de la merde, et Margot et Idrissa roulaient des yeux, amusés et fatigués des conneries des trois autres. Une vraie bande de potes de la vraie vie. Et après les questions-réponses qui ont quand même durées bien trois-quart d'heure, est venu le temps des rencontres et des photos. Je (Salomé) vous passerai le moment où j'ai failli me faire écraser et mourir étouffer par les groupies de Pierre et François pour en venir à THE rencontre. Que dis-je, mon coup de foudre pour François, déguisé en Nekfeu, pour qui mes ovaires ont frétillé et mon cœur à fondu. En vrai, ça a duré cinq secondes, on a échangé trois mots et fait un selfie moche, mais c'était cool parce qu'il se souvenait de Maud, de la pancarte et qu'il était tout content. Vient le moment ensuite, où je risque à nouveau ma vie pour approcher Pierre et, après un bon quart d'heure d'attente et un risque de malaise (parce qu'il faisait 40°C dans la salle), j'ai pu enfin lui parler, lui dire que j'étais « Salomé de la pancarte de Cannes » et putain, c'était beau. On a pris une photo, on s'est donné rendez-vous à Cannes et je l'ai quitté le cœur en fête.

OTP !

La mignonnitude puissance 10 millions ici.
       Puis, c'est là que j'ai démarré ma carrière de journaliste. Idrissa Hanrot, nouvelle tête dans le cinéma (c'était son premier grand film) était tout seul dans son coin et il était si pipou que je me suis gentiment dirigée vers lui. Je lui ai parlé du blog et je lui ai demandé une mini-interview, sous le regard avisé de la dame du cinéma. Et TADAAAAAM :


       Voilà, je tremble, je n'en peux plus, il est adorable, c'est un amour, c'est la fame absolue, ou presque. On peut espérer que c'est la première interview d'une longue série et surtout, j'espère revoir Idrissa dans d'autres films et que FIVE va faire un carton (ALLEZ LE VOIR BORDEL DE SHIT).

       Je (Maud) suis retournée voir le film par pur plaisir ce Jeudi 31 Mars, lendemain de la sortie officielle. Rennes étant perturbée par des manifestations et autres échauffourées, les salles de cinéma n'étaient pas bien pleines en ce jour. Cela ne m'a quand même pas empêchée de voir que le film avait un certain succès et, de plus, j'ai toujours autant ris que la première fois. J'ai pu constater que le public était très réactif et avait beaucoup ris ce qui aurait surement plu à ce cher Igor si soucieux de voir les réactions des gens face à son bébé.

Billet plein tarif parce que comme une débile je n'avais pas ma carte étudiante.
       Pour conclure nous ne vous dirons qu'une chose, allez voir le film, allez voir FIVE, avec vos potes ou sans, vous verrez, vous ne pourrez que vous amuser et rire aux éclats.
 
       Des bisous et à tantôt sur l'internet !


Salomé et Maud.


Petit point BO :

par Océane


       Petite parenthèse musicale pour vous parler d’un titre extrait de la BO du film, une version alternative de la chanson REUF de Nekfeu. A la base la chanson figure sur l’album FEU, sortie le 8 juin 2015 et est en featuring avec Ed Sheeran. Un premier clip avait été tourné mais n’a jamais vu le jour, on avait juste eu le droit à un vague aperçu via le compte instagram de Nekfeu en Décembre. Puis plus de nouvelles d’une éventuelle sortie. Il a fallu attendre la sortie de FIVE pour voir un clip émerger. Sur le teaser qu’avait posté Nekfeu, on pouvait voir une vidéo en noir et blanc montrant des images d’enregistrement studio et de la bromance Ed Sheeran/Nekfeu. C’est donc naturellement qu’en plus des extraits du film, on retrouve la même ambiance délire entre pote qui correspond très bien au film et à Nekfeu, sachant qu’il est connu pour partager son succès avec ses potes. Bien que cette fois ci, pas d’Ed Sheeran au refrain et que la version change légèrement de celle de l’album, difficile de ne pas s’enjailler dessus. Bon, j'étais -j'avoue- au premier abord assez déçue de ne pas entendre la petite voix d'Ed pendant le refrain sachant que j'aimais énormément la version de l'album. On voit donc dans le clip la bande du film en studio et posée sur un canapé oklm avec Nekfeu et ses potes (yeux en cœur en y apercevant Framal vers 2 :20) et ça a l’air de bien se marrer. Du coup c’est 3 minutes 20 de poupitude intense. Et vas y que ça chante, et vas y que ça ri et vas y que ça se prend dans les bras et vas y que ça transforme ton cœur de fangirl en marshmallow géant. Pour visionner le clip, c'est par ici : x !

Petits apartés :

       Je (Maud) me permets de faire un petit (moyen ok) aparté sur la promo pour le film car comme Yann Barthès l'a bien présenté dans son émission Le Petit Journal, c'était comme si Pierre était bipolaire. En effet, le Dimanche 20 Mars, Pierre était invité au Journal de 20h de Marie Drucker sur France 2 et, ce que je pensais impossible, elle est restée de marbre face à lui, froide et distante, qualifiant le film de "comédie potache" ce que je doute être un compliment. l'interview s'en est ressentie. Très superficielle et difficile de décrocher un sourire, si ce n'est lorsque le magnéto sur la remise du César de Pierre pour son rôle dans Yves Saint Laurent de Jalil Lespert lui a été remis. Ailleurs, que ce soit à la radio ou dans les émissions télé comme C à Vous sur France 5 ou dans le Petit Journal, les animateurs étant plus jovials il était plus facile pour lui de laisser parler son humour légendaire. On a pu alors le voir réciter les paroles de Wannabe des Spice Girls façon Comédie Française chez Barthès et reprendre REUF de Nekfeu avec son compère François chez Anne-Sophie Lapix. Le rush de la promo était aussi intense que le rush des avant-premières. L'équipe n'a pas arrêté. Je vous conseille de regarder les replays de chacune de ces émissions car ça vaut vraiment le détour.
       Autre petit aparté sur cette fois-ci quelque chose qui nous à toutes choquées ici chez les Fangirls. Un article critique du film dans le Figaro écrit par le journaliste (si on peut appeler ça comme ça) Etienne Sorin particulièrement assassin a éveillé nos instincts de prédatrices. En effet, ce dernier décrit Pierre Niney comme aillant touché le fond en acceptant de jouer dans la comédie de son pote et comme étant menteur vis à vis des gens quant à son aspect "djeuns".
Non seulement cet article est un déballage de grossièretés inutiles et dépourvues de tout sens, mais en plus il dénigre quasi totalement le travail du chouchou de la bande des Fangirls. Ne pouvant accepter tant de malveillance et de bêtise, nous tenions à montrer notre indignation via cet aparté. C'est à croire que ce monsieur Sorin n'a pas vu le film ou ne connaît pas réellement le travail de Pierre pour le juger de la sorte. Nous lui conseillerions donc de revoir l'intégralité de la filmographie de bébé Niney afin qu'il se rende compte à quel point son article était inutile et vide d'arguments sensés.
Vous pouvez lire l'article ici : x.

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