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Hellfest : Jour 3 : Hangover…
23:01
(titre d’article trouvé avec
Morgan en référence à la reprise de « Hangover » de Taio Cruz et
David Guetta par le groupe Alestorm)
Le troisième jour de festival
est souvent, pour ne pas dire tout le temps, le plus dur à vivre physiquement
parlant. Après 2 jours de concerts intenses, de beuverie et de cris, les voix
et les esprits respirent la fatigue. Je me lève une nouvelle fois la première,
toujours pour aller faire la queue devant les toilettes sèches et déjà, je
n’entends plus parler que d’
Alestorm.
Les membres principaux du groupe Alestorm dans toute leur folie. (source : www.alestorm.net) |
Alestorm
c’est un peu le groupe que tout le monde attend au tournant étant réputé pour
se donner comme des bête sur scène. Nous n’avons qu’une hâte avec les copains,
c’est de vivre ce concert qui promet d’être épique.
Après
mon petit tour aux toilettes, je retourne sur le campement et comme la veille,
des têtes émergent peu à peu des tentes, bravant la lumière aveuglante du
soleil pour se réhydrater avec une petite bière matinale. Nous organisons notre
journée chacun comme nous l’entendons, voyant avec qui nous allons suivre un
tel ou un autre concert. Pour moi, ce sera
Russian Circle (sur les conseils de
Dylan) : un groupe de 3 petits gars qui envoient du rêve avec leur musique
uniquement instrumentale, et bien évidemment Alestorm : groupe de métal
pirate composé de 6 cinglés qui feraient rentrer n’importe qui dans leur monde
de forbans avec leur musique à la fois grasse et entrainante. Mais d’abord, une
promenade à Hell City et à l’Extreme Market s’impose.
Les 3 membres de Russian Circles |
On
veut un super tatouage éphémère, comme les pizzas que
mes copines Marion et Gwendoline se sont faites faire au stand Doc Martens la
veille. Nous nous y rendons dans l’espoir qu’il n’y ait pas trop de monde pour nous
faire un poulpe, la quintessence du
swag, pour ne pas louper notre premier concert de la journée. Problème :
déjà, une queue s’est formée au stand, une queue dans laquelle nous apercevons
notre copain Hervé, dit Jeannine, qui attend pour se faire le logo
Cannibal All
Low Cost en gros dans le dos. [Petit aparté :
nous reviendrons vers Jeannine à la fin de cet article pour vous montrer ce qu’est
devenu ce magnifique tatouage éphémère à la fin de la journée. Ah ah.] Lassés
de l’attente qui se profile devant nous, nous abandonnons l’idée du
tatouage et nous rendons sous le chapiteau où va se dérouler le concert de
Russian Circles. Nous nous retrouvons au premier rang sans difficultés et
assistons même aux réglages des instruments par les membres même du groupe.
Pizzas de Gwendoline et Marion. |
Dos d'Hervé. |
Quelques
minutes plus tard, le concert commence. Un son puissant, une ambiance du feu de
dieu, des musiciens à fond dans leur musique, un mélange qui nous réussit et
qui nous emporte dans une espèce de transe entre headbang intense et jouissance auditive extrême. Une heure de concert nous a semblé n’en être qu’une minute. En vérité, ça nous
a laissé à peine le temps de profiter du talent de ces petits gars. Qu’ils
reviennent ! Je veux les revoir moi !
(photo by @MaudCopeland) |
(photo by @MaudCopeland) |
Les copains Flavie et Raphaël en Pikachu. (photo by @Flewory) |
Stitch Nicolas en bonne compagnie. |
La
musique autour de nous cesse. Une foule immense s’est formée sans que nous nous
en apercevions ce qui nous empêche de rentrer sous le chapiteau pour le concert
et nous cache intégralement la scène. Nous décidons donc de rester où nous
sommes pour tout de même écouter le remue-ménage piratesque qui se passe à l’intérieur.
Un remue-ménage qui a l’air tellement dingue que nous en devenons carrément
dégoutés de ne pas pouvoir y proprement y assister. C’est pour ça que nous
décidons de quitter nos places et de partir vagabonder dans Hell City pour nous
amuser un peu et oublier la frustration de ne pouvoir assister à l’abordage des
Ecossais…
En
quittant l’endroit, je vois quelques images du concert sur l’écran géant au
dehors du chapiteau et c’est là que je le vois. Un véritable coup de foudre.
Christopher Bowes, chanteur du groupe, avec son tricornes et son kilt… Mon dieu…
Mon cœur flanche… Ne pouvant fangirler comme il se doit mais tentant tout de
même d’exprimer cet amour soudain, je me tourne vers Dylan et lance quelques
mots incompréhensibles. Celui-ci pourtant comprend tout de suite ce qui m’arrive :
je viens de trouver un nouvel amour, un nouveau trophée à ajouter à mon tableau
de chasse de fangirl. Les yeux remplis d’étoiles, je continue de marcher en me
disant que je pourrais, quoi qu’il arrive, regarder le concert sur internet (C’est
par ICI) en rentrant à la maison et voir de nouveau
ce beau forban.
Mon amour de Christopher (source : http://flickriver.com/photos/tags/dougswierczek/interesting) |
Concert Alestorm (source : http://flickriver.com/photos/tags/dougswierczek/interesting) |
A
Hell City, nous décidons de faire un tour tranquillement. Avec Maelle nous
écrivons « Bukkake Tears » en hommage à notre hymne pour le weekend
sur les chaussures prévues à cet effet sur le stand Doc Martens puis nous nous
laissons prendre en photos sur la grosse moto en métal devant le stand Gibson. Puis petit à petit, nous rentrons vers le
campement, nous arrêtant dans quelques boutiques par ci par là pour faire
quelques emplettes. C’est d’ailleurs là
que j’ai trouvé un super t-shirt Def Leppard
et une ceinture Ghostbusters que j’ai acheté grâce au forcing de mes
copains qui ne m’auraient pas laissée partir sans.
Revenus au campement, nous profitons de l’absence de quasi tout le monde pour faire un petit peu de rangement et pour nous reposer. Les autres rentrés, nous n’attendons qu’une chose : le bilan d’Alestorm et voir si ce qu’on a raté était aussi grandiose que nous l’imaginions. Résultat : une tuerie. Marion et Gwendoline en ont même profité pour tripoter MON Christopher quand il s’est lancé dans le public. Tout le monde rapatrié, nous nous associons pour faire un bilan commun du festival dans son ensemble, ce qui me permet de noter quelques trucs dans mon Famous Carnet.
Revenus au campement, nous profitons de l’absence de quasi tout le monde pour faire un petit peu de rangement et pour nous reposer. Les autres rentrés, nous n’attendons qu’une chose : le bilan d’Alestorm et voir si ce qu’on a raté était aussi grandiose que nous l’imaginions. Résultat : une tuerie. Marion et Gwendoline en ont même profité pour tripoter MON Christopher quand il s’est lancé dans le public. Tout le monde rapatrié, nous nous associons pour faire un bilan commun du festival dans son ensemble, ce qui me permet de noter quelques trucs dans mon Famous Carnet.
En
début de soirée, nous retrouvons Hervé qui a retiré son tatouage éphémère et
qui, à cause du temps merveilleusement ensoleillé de la journée, a chopé un magnifique coup de soleil, ce qui
a laissé les traces des contours du tatouage dans son dos.
Magnifique coup de soleil n'est-ce pas? |
Un
dernier apéro, une dernière soirée, une dernière nuit dans la tente et le
lendemain matin nous rangeons et plions bagages. Le Festival est déjà terminé,
ne reste plus qu’à dire au revoir aux nouveaux copains, ainsi qu’aux anciens et
à rentrer à la maison, PRENDRE UNE DOUCHE et DORMIR pour de vrai.
Rien que la vérité. |
A l’année
prochaine Festival de malade ! En espérant que tu tiennes toutes tes
promesses !
Quant
à moi, j’espère vous avoir montré à travers ces trois journées que le Hellfest
c’est vraiment un truc chouette, surtout quand on le vit avec une bande de
copains géniaux. N’hésitez pas à réagir à tout ça et à nous donner votre avis
si vous-même vous y êtes allés.
Je vous donne rendez-vous dans l’article Tops/Flops du Festival qui je l’espère suivra rapidement celui-ci !
Je vous donne rendez-vous dans l’article Tops/Flops du Festival qui je l’espère suivra rapidement celui-ci !
Maud.
1 commentaires
C'était involontaire le tripotage de beat de Christopher. C'est lui qui s'est cru tout permis et qui as mi sa bite dans nos mains !!
RépondreSupprimerGwen.